6 façons d’embrasser l’année de la mer
Des envies, des livres et des ONG à soutenir pour embrasser le monde océanique, célébrer l’année de la mer en France et pour que la terre respire encore et encore, et nous protège.
1- Croquer la planète Neptune
Ceci n’est pas une réclame… « Pas de planète, pas de chocolat », VS « pas de bras, pas de chocolat », Carré sauvage, le chocolat des sacrés français, célèbre la Mer, avec une série limitée 100% orgasmique : Neptune. De la fève à la tablette, avec pour promesses (produit) de l’amour comme exhausteur goût, des algues rouges de Bretagne pour le bien être, un emballage recyclé et du chocolat issue du commerce équitable pour sauver le vivant. What else ?
2- L’écume des jours
À Biarritz, entre ciel pâle et écume vive, un père et une fille rêvent d’une beauté alignée avec la mer. Leurs soins sentent l’algue fraîche, le sel dans les cheveux, les marées d’équinoxe. Pas de chichi : juste des formules courtes, des gestes clairs. Chaque soin est pensé comme un acte pour demain : flacons recyclés, circuits courts, bénéfices reversés à la protection des océans. Atlantik Care n’invente pas un monde meilleur, elle défend, à petits pas, au son des vagues et au rythme du vivant.
3- Nager à contre-courant
Vous allez nous prendre pour des fous ? pour des sirènes ? pour des gens hors normes ? Oui cela peut paraître une obsession, mais pas seulement. A la lecture du livre de Clémentine Sébeaux, on a découvert un univers pas si parallèle que notre société. Dans “L’Art d’être sirène dans un monde de requins”, Clémentine Sebaux revisite la figure de la sirène : non plus séductrice, mais libre, intuitive, reliée au vivant. Son manifeste invite à cultiver une écologie intérieure : ralentir, ressentir, écouter comme une réponse politique face à un monde qui bétonne, consomme, dévore. Être une sirène, c’est refuser la logique prédatrice pour retisser des liens profonds avec soi, les autres, et la planète.
Lire L’art d’être sirene dans un monde de requins
4- Ondine et Marin, enfants des océans
Nés des courants et des songes salés, Ondine et Marin voguent d’une mer à l’autre, portés par la curiosité et l’émerveillement. À travers quatre tomes tendres et éclatants, les jeunes lecteurs plongent dans les eaux de la Grande Barrière et ses coraux fluorescents jusqu’aux plages où les tortues viennent confier leurs œufs, découvrent les secrets de l’estran (replat de marée), en passant par des défis haletants du royaume des requins. Une invitation à rêver avec l’histoire, à comprendre avec la science.
Mémoires d’Océans tisse ici une collection précieuse, où imaginaire et connaissance s’entrelacent comme les vagues sur le sable.
5- La voix de l’océan en marche
« Réconciliez l’humanité avec le sauvage », c’est le mantra ou l’étoile polaire de Longitude 181 pour garder le cap et sauver la planète bleu. Sensibiliser, plaidoyer, défendre les espèces menacées, organiser des raouts en mer, des expé de sciences participatives, depuis plus de vingt ans, Longitude 181 donne la parole aux océans. Véritable porte-voix , leur combat est de construire une “terre mer” pour tous, en conjuguant science et vulgarisation éclairée.
6- Éleveur de coraux
A la mode de chez nous, on plante des choux, des carottes, mais aussi et surtout des coraux, avec l’aide de Coral Planters. Dédiée à la restauration des récifs coralliens, essentiels à la biodiversité marine, une équipe de biologistes passionnés, développe des techniques innovantes pour cultiver et replanter des coraux endommagés, via des structures artificielles et des nurseries sous-marines. Votre mission, si vous l’acceptez, revitaliser les écosystèmes fragiles, lutter contre les effets du réchauffement climatique et soutenir les populations qui dépendent de la santé des récifs.
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