MANIFESTO

Il était une fois...

HUM, n.m :
[œm], [ɔm] / (h aspiré)/œm/ ou (h aspiré)/ɔm/ invariable

Interjection marquant le doute, le mécontentement, l’impatience, la réticence.

HUM se traduit de l’anglais par bourdonnement.
C’est le nom donné aux vibrations et fréquences de la Terre. HUM, le chant de la Terre.
Chez les tibétains, HUM est une syllabe finale indiquant l’indivisibilité.
La nature est indivisible de l’homme.  Nous sommes UN. Nous sommes HUM

HUM est aussi la racine des mots :
Hum(er), respirer, se sentir vivant
Hum(ain) l’Homme en tant qu’espèce
Hum(eur) l’ensemble des tendances spontanées Hum(our) caractère comique
C’est comme ça qu’est né HUM, le magazine d’humeur écolo, responsable et solidaire 2.0.

Aujourd'hui

"Il faut que tout change pour que tout reste comme avant"

Vous comme nous faisons notre mea culpa, car…
Qui milite pour la nature et continue à faire le tour du monde?
Qui crache dans la soupe au lait de vache et aborde son sac en cuir véritable ?
Qui déteste la corrida et fait la queue chez son boucher préféré ?
Qui dénonce la surconsommation et commande le Prix Goncourt chez Amazon?
Qui fait un magazine 2.0 écolo et stocke des infos sur des serveurs augmentant l’empreinte carbone?

Certes, nous sommes en pleine dissonance cognitive et le monde marche sur la tête.
Mais en repensant à la légende amérindienne du colibri* rapportée par Pierre Rabhi, chacun aime un peu beaucoup et à la folie, pas dû tout notre planète et contribue à sa façon.
Voilà « HUM » est de cela.

HUM media, donne la parole aux hommes et femmes inspirés et inspirants, engagés, pour rendre encore plus désirable la planète. Penseurs, écrivains, agriculteurs, créateurs, artistes, professeurs, politiciens, cuisiniers, alias les colibris de HUM.

Et finalement, si le monde n’allait pas si mal ?

Hum, un média indépendant d’humeur responsable
pour penser le vivant et sauver le genre humain.

La légende du colibri

Un jour, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : "Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! " Et le colibri lui répondit : "Je le sais, mais je fais ma part."

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