Les gîtes du berger, voyage au centre de la terre
Premiers pas bruyants sur une allée de graviers, avant d’entrer en communion avec le silence d’un parquet réchauffé par des suspensions végétales lumineuses, une création originale de nos hôtes, Bernard et Christine Colombier, maîtres des lieux des Gîtes du Berger, un antre entre les volcans d’Auvergne.
Ceci est une bergerie; Des soupçons d’embruns emplis de douceur nous enveloppent dans ce qui est maintenant un salon, une cuisine, des chambres et des salles de bains. La laine des moutons se retrouve sous les toits, elle sert d’isolation à la maison, comme pour toutes les autres. Car la bergerie n’est pas seule, en face d’elle se trouvent la Maison de Jeanne et Le Pigeonnier qui pourraient abriter tout poète, plus loin le Pailloux ou encore le dortoir de Marius qui accueillent dans son jardin, une Tiny House ! Une affaire de famille puisque le fils, architecte, a construit lui aussi une maison eco-conçue ; Entièrement faite de bois, la petite maison se ploie et se déploie, telles les ailes des cigognes noires. Tirez la chevillette, la poignée cherra, pendant que le grand méchant loup n’y est pas, vous pourrez y faire un somme ou cuisiner avec vue.
Ici la mélodie du bonheur résonne ; Des toits, des ambiances… A votre convenance, jouer à saute-moutons, paresser, danser à travers les herbes folles, souper puis dormir à poings fermés, avec pour seuls voisins, des brebis, ânes et chevaux. Autrefois paysans, Bernard et Christine ont préféré conserver la beauté des lieux et leurs animaux de pâturage, comme compagnons fidèles, une reconversion datant depuis plus de vingt ans.
Autour de vous, prendre un bain de nature avec vue sur les terres ondulées d’un vert fumé lors des saisons chaudes, puis décolorées de blanc en hiver. La philosophie du lieu ? Transmettre autant de chaleur qu’un berger accorde à ses moutons et vivre lentement au temps des anciens. Et surtout, laisser le regard des rideaux filtrer la lumière et vivre pleinement à l’image de ces collines auvergnates, agiles, douces et sereines.
LES GITES DU BERGER
Une échappée belle sur la terre des lacs et des volcans. Transmise depuis des générations, la maison de famille du berger vous ouvre ses portes.
Un volcan s’éteint des moutons s’éveillent.
Les gîtes du berger. La Bussière. 63780 Saint Georges de Mons
Mots et photos @alizeebauer
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Les gîtes du berger, voyage au centre de la terre
Premiers pas bruyants sur une allée de graviers, avant d'entrer en communion avec le silence d'un parquet réchauffé par des suspensions végétales lumineuses, une création originale de nos hôtes, Bernard et Christine Colombier, maîtres des lieux des Gîtes du Berger, un antre entre les volcans d'Auvergne.
Ceci est bien une bergerie, des soupçons d’embruns emplis de douceur nous enveloppent dans ce qui est maintenant un salon, une cuisine, des chambres et des salles de bains. La laine des moutons se retrouve sous les toits, elle sert d’isolation à la maison, comme pour toutes les autres. Car la bergerie n’est pas seule, en face d’elle se trouvent la Maison de Jeanne et Le Pigeonnier qui pourraient abriter tout poète, plus loin le Pailloux ou encore le dortoir de Marius qui accueillent dans son jardin, une Tiny House ! Une affaire de famille puisque le fils, architecte, a construit lui aussi une maison eco-conçue ; Entièrement faite de bois, la petite maison se ploie et se déploie, telles les ailes des cigognes noires. Tirez la chevillette, la poignée cherra, pendant que le grand méchant loup n’y est pas, vous pourrez y faire un somme ou cuisiner avec vue.
Ici la mélodie du bonheur résonne ; Des toits, des ambiances… A votre convenance, jouer à saute-moutons, paresser, danser à travers les herbes folles, souper puis dormir à points fermés, avec pour seuls voisins, des brebis, ânes et chevaux. Autrefois paysans, Bernard et Christine ont préféré conserver la beauté des lieux et leurs animaux de pâturage, comme compagnons fidèles, une reconversion datant depuis plus de vingt ans.
Autour de vous, prendre un bain de nature avec vue sur les terres ondulées d’un vert fumé lors des saisons chaudes, puis décolorées de blanc en hiver. La philosophie du lieu ? Transmettre autant de chaleur qu’un berger accorde à ses moutons et vivre lentement au temps des anciens. Et surtout, laisser le regard des rideaux filtrer la lumière et vivre pleinement à l’image de ces collines auvergnates, agiles, douces et sereines.
Mots et photos : Alizée Bauer
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